Après les combats…

« Ce serait un crime de montrer les beaux côtés de la guerre, même s’il y en avait !  » (*)

Quand la fureur s’est tue vient le pénible travail de l’exhumation et de l’identification.

Sur ce détail des soldats et infirmiers préposés au transport des corps. Tandis que d’autres relèvent les effets et le matériel resté sur le terrain

Sur cet autre détail au premier plan deux infirmiers accompagnent un prêtre.Au second plan on distingue une croix marquant le lieu où a été, provisoirement, inhumé un brave.

Plus loin trois soldats se reposent un moment avant de reprendre leur pénible labeur tandis qu’à l’arrière-plan d’autres le poursuivent.


(*) Le Feu, Henri Barbusse, éd. Flammarion, 1916, chap. 24 (« L’Aube »), p. 369